Lucie Lom a transformé un musée en camping, un théâtre en gare, suspendu une forêt en pleine ville, fait pousser des voitures dans le bitume et amare des bateaux à des balcons.
Les lieux métamorphosés se lisent comme des livres ; des livres ouverts aux multiples sensibilités des passants.
Ce n’est pas tant du décor que du temps irréel, de l’imaginaire que l’on attrape, comme un rêve éphémère que l’on poursuit au réveil.